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Saint-Nazaire - été 2022 (9)_edited_edit

deux ou trois choses
que je sais d'elle...

parcours.

Chez moi, le bijou est un virus familial.
Maman à une collection proche du syndrome de Diogène et mamie flambait la moitié de ses salaires chez l’antiquaire.


Lycéenne je découvre le bijou contemporain sur le net, via les tout premiers blogs sur le sujet.
Les travaux de Philip Sajet, David Watkins ou encore Marina Elenskaya seront mes premiers chocs esthétiques.

 

Pour autant, curieuse d’expressions artistiques en tout genre, je me dirige vers des études d’Histoire de l’art qui me permettront de me forger un répertoire visuel et conceptuel large dans lequel j’allais plus tard puiser mes éléments.

Diplômée en 2014 d’un master en commissariat d’exposition d’art contemporain, j'éprouve pourtant le besoin irrépressible d’un grand saut dans le vide.
Après une année de voyage entre la Nouvelle-Zélande et l’Asie du sud-est, la seconde édition du festival de bijou contemporain « Parcours Bijoux » en 2017 sera pour moi une révélation.

J’intègre alors l’école AFEDAP, la première école de bijou contemporain en France et ressort convaincue de ma voie.
Après un cursus complémentaire à l’école Boulle et plusieurs stages en atelier de joaillerie, je valide finalement mes acquis en 2021 par l’obtention du CAP bijouterie-joaillerie.

La même année, transportée par l’envie forte de partir à la découverte de mon terrain créatif, je décide de compléter mon parcours artistique par un voyage sans itinéraire en Amérique latine à l’occasion duquel je travaille au sein des ateliers de Tatiana Apraez (Bogota) et Luz Adriana Vargas (Medellin). 


Désormais réinstallée dans le département qui m’a vu naître, la Seine-Saint-Denis, je poursuis dès lors mes explorations au sein de mon atelier personnel, toujours muée par le même goût pour l'inconnu et pour l'expérimentation.

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Mari... Comment?

Moi c'est Marilona.

Tout attaché, comme ça s'entend.
C'est un réflexe, je le dis tout le temps.

 

Ma mère voulait m'appeler Marie.
Elle est polonaise. Ils sont très croyants là-bas.
Mon père voulait m'appeler Ilona, c'est à dire exactement comme ma mère.
Ça veut dire Hélène en polonais.


15min avant de rentrer dans la mairie, ils ont eu une illumination
et se sont ravisés de leur première idée,
celle d'un prénom composé avec un tiret au milieu.
J'ai eu chaud.

Si bien que les deux "i" ont été mélangés et le "e" a disparu.
Ca tombe bien, mon écrivain préféré c'est Pérec.

Voilà. Quand je me présente proprement auprès de ceux
avec qui je sais que les choses vont durer,
je commence souvent par là.

Maintenant, vous savez tout, on va pouvoir discuter.

Bienvenue

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